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On a tous nos intérieurs nos petites choses.
Ce qui fait au fond de nous qu'on est tout d'même quelque chose :
celui qui s'gratte ou qui s'titille,
celui qui dort ou qui s'rabille,
le petit chose au fond de son âme qui nous comprend ou qui s'pavane !
Arrête toi et viens avec moi prendre un verre !
On va parler tu vas me dire et me défaire les noeuds rusés que tu as semés,
mauvaises orties bien plantées !
Allez rentrons dans notre labyrinthe !
viens ! J'ai besoin d'aide !
Je te connais, je sais, tu viens de ma famille.
Je te vois dans les yeux de maman quand ils brillent.
S'ils avaient dénoué le noeud, la chose ne s'rait plus dans mes yeux.
C'est incroyable de se sentir passer la main vers l'avenir !
On a tous nos intérieurs nos petits choses.
Ce qui fait qu'une lutte peut-être quelque chose.
Souvent je m'attendais moi-même me disant il faut que tu viennes !
Il faut que tu viennes de toi même tu sais,
j'ai autre chose à faire !
Alors je t'évacues d'un geste de la main , te ramènes à la porte, te montre le chemin !
Mais tu es revenu à la chaîne !
Et je suis passé de la haine,
de la haine à l'indifférence, de l'indifférence à l'errance !
Et tu sais, le jour où la vie m'a lâché, j'ai senti sa présence,
il m'a raccompagné... j'ai compris qu'c'était pour la prochaine,
que dans l'autre vie j'emporterais mon problème.
Je me souviens de cette fille qui apprenait à me dire je t'aime !
Il y en a qui se suent qui travaillent sur eux-mêmes.
Des marins sur la mer seuls avec leurs problèmes
qui n'voudraient jamais revenir,
de peur hélas de reproduire,
de reproduire la même chose leur seul exemple sur la terre !
Il y en a qui se suent qui travaillent sur eux-mêmes.
Des marins sur la mer seuls avec leurs problèmes
qui n'voudraient jamais revenir,
de peur hélas de reproduire,
de reproduire la même chose !
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On a tous nos intérieurs nos petites choses.
Ce qui fait au fond de nous qu'on est tout d'même quelque chose :
celui qui s'gratte ou qui s'titille,
celui qui dort ou qui s'rabille,
le petit chose au fond de son âme qui nous comprend ou qui s'pavane !
Arrête toi et viens avec moi prendre un verre !
On va parler tu vas me dire et me défaire les noeuds rusés que tu as semés,
mauvaises orties bien plantées !
Allez rentrons dans notre labyrinthe !
viens ! J'ai besoin d'aide !
Je te connais, je sais, tu viens de ma famille.
Je te vois dans les yeux de maman quand ils brillent.
S'ils avaient dénoué le noeud, la chose ne s'rait plus dans mes yeux.
C'est incroyable de se sentir passer la main vers l'avenir !
On a tous nos intérieurs nos petits choses.
Ce qui fait qu'une lutte peut-être quelque chose.
Souvent je m'attendais moi-même me disant il faut que tu viennes !
Il faut que tu viennes de toi même tu sais,
j'ai autre chose à faire !
Alors je t'évacues d'un geste de la main , te ramènes à la porte, te montre le chemin !
Mais tu es revenu à la chaîne !
Et je suis passé de la haine,
de la haine à l'indifférence, de l'indifférence à l'errance !
Et tu sais, le jour où la vie m'a lâché, j'ai senti sa présence,
il m'a raccompagné... j'ai compris qu'c'était pour la prochaine,
que dans l'autre vie j'emporterais mon problème.
Je me souviens de cette fille qui apprenait à me dire je t'aime !
Il y en a qui se suent qui travaillent sur eux-mêmes.
Des marins sur la mer seuls avec leurs problèmes
qui n'voudraient jamais revenir,
de peur hélas de reproduire,
de reproduire la même chose leur seul exemple sur la terre !
Il y en a qui se suent qui travaillent sur eux-mêmes.
Des marins sur la mer seuls avec leurs problèmes
qui n'voudraient jamais revenir,
de peur hélas de reproduire,
de reproduire la même chose !